Pauvre et chère forêt, Que je soupire de regrets, Que je soupire et souffre Et me meurs tout bonnement : En voyant tes feuilles tomber Et tes chanteurs s’en aller ; J’entends la plainte du vent, Du vent vagabond errant À travers d’épais taillis… Puisses-tu automne disparaître, Que la forêt ne te connaisse Ne connaisseLire la suite « Theodor Neculuţă – Complainte de la foet »