fragment Passée le forêt d’airain, de très loin scintille en blancEt résonne le fier discours de la grande forêt d’argent.L’herbe, là, près de la source semble neige immaculée,Des fleurs bleues frémissent humides, dans l’air doucement parfumé.Il semblerait que les grands chênes sous l’écorce ont une âmeQui soupire entre les branches d’une voix pleine de charme.EtLire la suite « Mihai Eminescu – Calin ( Pages d’un conte) VIII »