Sans but je regardais au firmamentDans sa sauvage splendeurLe mont Ceahlàu, à l’Occident,Loin dans le bleu du ciel baignantSon front géant, dans la solaire ardeur,la garde du pays montant Pareil à un mystère errantUn nuage du sommet voisinFlottait dans le gouffre sereinN’ayant plus d’ailes pour s’envoler!Et l’air entier était tout pleinDe chants d’oiseaux tout gazouillants;Lire la suite « George Cosbuc – L’été »